C’est le quatrième roman que je lis de l’auteure Nadia Hashimi et j’en redemande. L’histoire est passionnante, prenante et envoûtante. Nadia Hashimi offre un vibrant hommage à la famille et à la civilisation afghane. Que dire de plus ! Vivement le prochain.
***Résumé :
*** Je porte en moi un monde disparu
Kaboul, 1978. Sitara, dix ans, mène une vie heureuse avec sa famille au palais. Son père est le bras droit du président. Un soir, elle quitte sa chambre sur la pointe des pieds pour regarder les étoiles. Cette nuit-là, c’est le coup d’État ; aucun des siens n’y survivra. Si elle a la vie sauve, c’est grâce aux étoiles.
Mais l’orpheline n’est en sécurité nulle part dans ce pays qui a changé de visage. Confiée aux soins de deux femmes prêtes à tout pour lui assurer de meilleurs lendemains, Sitara trouve refuge aux États-Unis. Des années après son exil, le passé revient frapper à la porte, ne lui laissant d’autre choix que de retourner en Afghanistan pour faire toute la lumière sur cette nuit où sa vie a basculé et rendre hommage à ceux qui n’ont pas été sauvés par les étoiles. Ce douloureux retour aux sources est peut-être sa seule chance de se réconcilier avec le passé.
